Si les chiffres le veulent bien, le 11 mai ce sera une nouvelle période, et surtout une nouvelle façon de vivre qui commencera pour nous.
Au début du confinement, je vous disais ICI un peu trop rapidement et de façon présomptueuse : j’ai l’impression d’avoir déjà vécu cela, je pense donc que je vais facilement m’adapter.
Nous arrivons (peut-être) à la fin de cette période de confinement, et je dois dire que non, je ne l’ai pas du tout vécue comme je le pensais, et pour plusieurs raisons.
En comparant mes années 2008 puis 2016, années de mes cancers à ces deux mois de 2020, beaucoup de différences m’apparaissent.
1/ C’est un isolement que nous avons vécu tous ensemble mais séparément et différemment.
Tous en même temps, mais chacun de son côté. Chacun avec son mode de vie, chacun avec ses obligations, chacun avec ses conditions.
Lorsque j’étais confinée chez moi durant mes traitements contre le cancer, j’étais seule et le monde continuait de tourner autour.
Nous étions donc tous ensemble mais tellement différents.
J’ai lu un jour sur Facebook : « Au moins, ce virus touche toutes les couches sociales de la population. » Je suis tellement en désaccord, même en colère quand je lis ce genre de remarque!
Oui, tout un chacun pouvait l’attraper! Mais, au niveau de la protection, du confinement, ce covid19 a mis en évidence tellement d’injustice et d’inégalité dans notre société!
2/ C’est un isolement pour protéger les autres.
Lorsque j’ai passé mes journées chez moi après chaque chimiothérapie, je restais chez moi pour me protéger simplement.
Là, nous étions confinés pour nous protéger mais aussi pour protéger notre entourage et plus. C’était un acte de « survie » ( j’utilise ce terme mais je le trouve déjà exagéré) mais surtout un acte citoyen.
3/ C’est un isolement qui nous a été dicté.
Alors, oui, je suis bien d’accord que cet isolement était inévitable puisque nous n’avions pas les fameux masques et les tests qui nous auraient peut-être éviter cet isolement.
Je sais qu’il est facile de dire cela après… que l’on ne peut refaire l’histoire. Mais, il faut quand même être conscient que si nous avions eu les moyens de nous protéger sanitairement, cela aurait évité ce qui va se passer maintenant : une énorme crise économique après la crise sanitaire.
Donc, nous avons obéi à des hommes en responsabilité en qui nous avons plus ou moins confiance.
Lors de mon isolement forcé pour cause de chimiothérapie, j’obéissais à des médecins en qui j’avais la plus grande confiance. Et là, c’est une énorme différence! Je savais où ils allaient et où ils souhaitaient me mener.
Je ne sais pas pour vous, mais j’ai passé mon confinement à croire un tel ou un tel, et le lendemain j’étais de nouveau pleine de doutes car un autre ponte du monde médical ou politique déclarait le contraire. C’est une des choses qui m’a le plus déstabilisée durant ces deux mois. Qui croire? En qui faire confiance?
4/ C’est un confinement dont la fin était incertaine.
Ce fut le suspense (et ça l’est encore puisqu’au moment où j’écris ce billet, j’attends le discours du premier ministre à 16h) durant 2 mois.
Au début, confinement deux semaines… puis deux semaines de plus… waouh!! Nous avons été tenus en haleine durant deux mois! ce fut passionnant, mais aussi destructeur pour beaucoup. Pour les artisans, commerçants, restaurateurs… et je ne pourrais en faire la liste complète qui ont désespéré de ne pouvoir envisager une date de sortie à tout cela.
Lorsque j’ai été confinée chez moi durant mes cancers, je connaissais à chaque fois la date de sortie : c’était la prochaine séance de chimio! 😀 Mais, au moins, il y avait une date.
5/ C’est un confinement que j’ai vécu seule.
Lorsque j’ai suivi mes traitements de cancer, mes enfants, mon ex-mari (pour le premier cancer j’étais encore mariée), mon compagnon, mes parents quand ils étaient encore là, mes amis… tout le monde était autour de moi et venaient me rendre visite lorsque c’était possible pour eux et pour moi. Même lorsque j’ai du être en chambre stérile, j’ai vu les personnes les plus proches déguisées en cosmonautes. 🙂
Pour ce confinement Covid, cette fois je vis seule et les personnes les plus proches ne sont pas assez près de moi géographiquement parlant pour que l’on puisse se voir même à un mètre de distance. J’ai donc passé mon temps au téléphone, sur internet et les seules personnes avec qui j’ai pu converser en direct, en vrai : mes voisins et les propriétaires de chien du quartier. 😀
Je peux vous dire que le temps m’a paru bien plus long que lorsque j’étais malade en 2008 ou 2016.
6/ Je n’étais pas dans le combat.
Ce temps d’isolement, je l’ai vécu d’une façon très passive.
Quand on est atteint d’un cancer et que l’on a la chance de s’en sortir, les gens nous disent : warriors! Je n’ai jamais accepté vraiment ce terme de guerrière car j’ai toujours pensé que j’étais dans le combat mais que la guerrière ce n’était pas moi, mais les médecins et les infirmières qui me suivaient et qui se battaient pour trouver le bon traitement pour moi.
Mais, c’est vrai que je me sentais bien plu dans la réaction face à la maladie, alors que durant ces deux mois qui viennent de passer, j’étais davantage dans l’attente de la libération. 🙂
Voilà donc encore un petit billet écrit dans la spontanéité. Ce sont mes réflexions avant de connaître si mon département sera rouge ou vert ce soir! 🙂 Je sais déjà qu’il sera rouge puisque j’habite le Val d’Oise.
Je viens d’apprendre également, il y a deux jours, que je ne pourrai pas me rendre sur mon lieu de travail le 11 mai et que je devrais continuer en télétravail ( sur avis de mon médecin). Pourtant, j’aurais bien aimer revoir mes collègues!!!
Donc, le 11 mai sera pour moi un demi-déconfinement. De toutes façons, ce sera le début d’autre chose pour tout le monde : une nouvelle façon de vivre et d’envisager nos rapports humains.
Mais, bon, la vraie question maintenant, c’est quand même ça
Et vous? Alors, ça a été ce confinement?
[…] trouve que ces principes sont tout à fait d’actualité avec la crise sanitaire que nous […]
Bonjour Sophie, au début ,je supportais assez bien mais plus ça durait et plus j’avais des moments de tristesse et des moments ou’ j’essayais de me raisonner que c’était pour le bien de tout le monde. Mais là, j’avoue je n’en peu plus de ses dirigeants qui font souffler le chaud et le froid. On a l’impression qu’eux même ne savent plus que faire et que le bateau coule. Et cette obligation de se faire à chaque fois que l’on veut sortir même pour s’acheter sa baguette de pain une autorisation de sortie à soi-même ( pourquoi pas un bracelet électronique ) Je ne supporte plus cette autorité à la « Orwell » sans masque d’abord puis avec masque ( mais ils n’y en avait pas ) Sans médicaments car on ne savait pas quoi nous donner. Ne parlons pas de L’AFFAIRE CHLOROQUINE . Il faut dire que je viens de fêter toute seule mes 72 ans . Oui j’ai eu des Face Time de mes filles et de mes petits enfants qui sont malheureusement trop loin pour que je puissent les serrer dans mes bras et leurs faires une multitude de BISOUS . Et là j’ai craquée, pourtant la vie ne m’ayant pas très gâtée , j’étais forte ( enfin je croyais) mais là ça été la goutte d’eau… Je m’excuse d’avoir était longue car je sais qu’il y a pleins de gens qui doivent être encore plus malheureux. Mais c’est pour rejoindre Sophie : avoir un commandant de bateau qui ne sait pas ou il va c’est dur pour le moral surtout que l’on ne connait pas la suite. Bonne journée à tous et à toutes. Maryse
Bonjour Maryse,
Tu sais, cet espace est aussi fait pour venir déposer ce que l’on a envie de dire ! Et je sais moi-meme comme cela peut faire du bien d’écrire ce que l’on a sur le coeur, alors ne t’en prive pas!
Oui, parfois on se croit fort, mais on a le droit de craquer, tout le monde a le droit de craquer, et ce n’est pas un signe de faiblesse. ça je l’ai appris au fur et à mesure de ma vie 🙂 car dans ma famille, on n’avait pas le droit de se plaindre, on devait être fort et ne pas craquer :). Parfois, il faut aller contre son éducation et se donner le droit de craquer :).
Bisous
Effectivement, c’est une expérience insolite, ce confinement. Nous avons trouvé notre rythme, appris à faire les courses pour une semaine, trinqué par écran interposé. Nous avons une faculté d’adaptation qui fait que ce n’était pas trop difficile.
Par contre, cette privation de liberté, je n’arrive pas à la ‘digérer’. Le lundi, tout allait bien, on nous parlait d’un virus et d’un coup, on nous a parlé de confinement, là, tout de suite. Plus de travail, plus d’école, les personnes âgées privées de contact dans les maisons de retraite … C’était violent, Se promener avec une attestation et une carte d’identité, cela montre que l’état ne nous fait plus confiance. Contrôlée 2 fois, j’ai présenté mes papiers, expliqué que j’allais faire des courses. Autour de moi, tout le monde trouve ça normal. Moi, non, j’ai l’impression d’être dans un film de science-fiction.
Bonjour Joe,
Je vais te dire ,j’habite dans une banlieue dite difficile et jamais jamais je ne me suis fait contrôler !! 🙂 Cela me fait sourire que tu dises que tu as été contrôlée deux fois. Mais, bon par chez moi, les contrôles se font au facies :). Une petite dame d’un certain âge avec un jack russel, on laisse passer 🙂
Personnellement, ce n’est pas ce système de flicage qui m’a le plus gênée , mais le manque de liberté dans les distances (je ne parle pas de distanciation lol) : ne pouvoir dépasser les 1km autour de chez moi, cela me privait des plus jolis coins de ma ville et il fallait vraiment que je positive (mais je positivais) pour trouver encore jolies quelques rues de mon quartier 🙂
Mais moi aussi j’ai été dans un état de sidération quand la décision a été prise du jour au lendemain pour le confinement.
Bisous
bonjour Sophie
Je te rejoins sur certains points puisque tu le sais comme on suit mutuellement nos blogs au début du confinement on était presque fière de dire qu’on allait bien le gérer puisque déja vécu avec le cancer et tellement heureuse d’être en bonne santé
comme toi j’ai énormément relativisé : je vis en maison , j’ai eu le soleil ! et je suis en bonne santé
mais comme toi au bout d’un mois la grande différence a été le manque de relation avec mes enfants et mes amis qui pendant la maladie étaient présents entre chaque chimio
Les miennes ont duré presque 2 ans ! donc loin des 40 jours mais entrecoupées de bons moments de sorties de randonnées d’escapades d’après midi thé papotage entre amis
Comme tu dis également nous ne réfléchissions pas nous avancions pour vivre et gagner contre cette maladie , notre vie était ponctuée de rdv médicaux ! Mais on voyait nos proches
Là c’est imposé ! et le virus est invisible
Nous on était malade là on ne l’est pas mais on se protége et on protège les autres.
Après le fait que çà soit annoncé tous les 2 semaines je pense que c’était plus prudent étant donné l’incertitude et contrairement à toi j’ai évité d’écouter le tout et n’importe quoi (en évitat la télé ) et suis restée confiante en m’occupant avec des activités qui me font du bien
Bien sur on peut toujours relativiser (je l’ai fait même avec un cancer métastatique en me disant çà arrive à des enfants) mais la positive attitude est facile à dire il y a une réalité derrière, on a le droit de ne pas être bien d’ avoir le moral dans les chaussettes , et la maladie nous a aussi fragilisées psychologiquement
Je souhaite que le déconfinement t’apporte un peu plus de sérénité
pour ma part marcher dans la colline hors de mon quartier que je connais à présent par coeur revoir mes fils (enfin un pas encore à 500km pas revu depuis février!) mes amis vont surement me redonner du baume au coeur
bonne journée
Coucou 🙂 Je savais que tu rebondirais sur ce billet 🙂
Moi, il me tarde d’aller juste dans le bois qui se trouve à 3km de chez moi pour pouvoir faire quelques photos de fleurs et de verdure, c’est ma façon de méditer :), cela me fait un bien fou. Et cela fera aussi du bien à mon jack russel qui a bien besoin de se défouler 🙂
Bises
Bonjour ,
je me permets de m’immiscer dans votre dialogue / billet : Pour moi , le confinement n’a pas changé grand chose : Je vis seul , suis âgé de 65 ans lol et surtout , je suis épileptique ! Mais j’ai la chance , le bonheur d’avoir un fils ( dont j’ai obtenu la garde en 1980 lors du divorce , il avait alors 6 mois )…..Emmanuel a ( comme toujours) » veillé sur moi » …Il est passé pratiquement chaque jour après m’avoir téléphoné , passé pour m’apporter ce dont j’avais besoin et prendre de mes nouvelles….Mais….pas de bise ;virus oblige lol …
Par ailleurs , je me suis posé une question : Qu’en a il été des » S.D.F » ??? Confinés dans la rue ? Les a – t – on aidés ? etc…..
A bientôt peut être …
Francis
Bonjour Francis,
Tout d’abord, je t’en prie, il faut s’immiscer!! 🙂 Cela me fait toujours très plaisir de lire les personnes qui suivent mon blog.
Pouvoir voir ton fils meme de loin a du être un soulagement certainement.
Pour ce qui est des SDF, j’y ai souvent pensé. Il a été dit déclaré (je cite le journal Le courrier international qui est pour moi un des journaux les plus sérieux au niveau de ses écrits et de ses sources) : Dans un communiqué du 4 avril, le gouvernement indiquait que 172 000 sans-abri allaient être hébergés, avec la mobilisation de 7 800 places d’hôtel supplémentaires dans toute la France pour ceux dans le besoin.
On connait la difficulté de faire admettre à un sans-abri qu’il faut venir dans un hébergement d’urgence… alors, dans les faits je ne sais pas malheureusement où est ce que nous en sommes.
Par contre, je peux te dire que dans mon quartier de région parisienne, juste pres du petit supermarché où j’allais faire mes courses durant le confinement, un sdf connu de tous dans le quartier depuis plusieurs années est décédé dans la rue. Je n’ai pas su de quoi il était décédé. Que ce soit de ce virus ou non, quelle importance… il est décédé seul dans la rue…
Voici l’article du Courrier international parlant de la situation des sdf durant le confinement :
https://www.courrierinternational.com/article/reportage-etre-sans-abri-paris-pendant-le-confinement
Bonne journée Francis et j’espère à bientôt.
Bonjour ,
Merci , alors , je pense m’immiscer plus souvent lol …
Pour ce qui est des S.D.F : Ce que j’ai lu et mis sur un de mes blog :
…..le confinement ??????
Coronavirus : les sans-abri, grands oubliés du confinement …
Les personnes qui » vivent » dans la rue non seulement n’ont pas la possibilité de se confiner mais elles sont en plus confrontées à la raréfaction des services dont dépend leur survie.
Coronavirus : les sans-abri, grands oubliés du confinement
Si le quotidien de l’ensemble des Français a changé radicalement en quelques jours, pour les sans-abris, la situation est devenue carrément invivable….
Bien sûr qu’il est toujours là. Où voulez-vous qu’il aille ?
Au lendemain des annonces d’Emmanuel Macron sur l’absolue nécessité de rester chez soi, Romano est assis dehors sur ses matelas, devant le renfoncement d’immeuble du nord-est parisien où il a installé tout son barda. Le confinement, il en a entendu parler, évidemment. Mais comment faire ? » Moi, pas de maison, j’habite ici », explique dans un français approximatif ce Roumain, qui constate, dépité, que la vie est devenue plus difficile encore depuis ce matin. » Plus rien, plus personne ici pour apporter à manger, moi beaucoup beaucoup besoin d’eau », raconte-t-il. Ce matin-là, en fait de confinement, deux amis sont venus partager une bière. L’un lui a ramené un repas, l’autre, qui s’inquiète de la fermeture de services où il devait finaliser sa demande d’aide médicale d’État, est venu chercher un peu de réconfort.
Autre décor, un peu plus loin dans Paris, dans le tout nouveau quartier Rosa Parks. Une trentaine de tentes installées près du Décathlon, abritaient jusqu’à la veille quelque 60 à 70 personnes, essentiellement des familles. Lundi soir, indique Julia, coordinatrice de l’association Utopia, » la police est venue pour leur demande d’évacuer, puis il y a eu contre ordre apparemment. Mais ils sont revenus le lendemain à 6 h 30, parfois en donnant parfois des coups de pied dans les tentes, et les familles ont finalement dû partir. »Résultat d’images pour » camp » de sans abri
Si le quotidien de l’ensemble des Français a changé radicalement en quelques jours, pour les sans-abri, la situation est devenue carrément critique. » C’est comme en 2015, au moment des attentats, on disait aux gens de pas sortir de chez eux mais rien n’est prévu pour ceux qui sont à la rue », constate Christian Page, un ancien sans-abri, aujourd’hui maraudeur pour »’ Féminité sans abri » . » Ce qui est en train de se passer, c’est que tout, les accueils de jour, les distributions de nourriture, les services administratifs… est en train de s’arrêter, sans parler de la possibilité de faire la manche. »
La veille, pourtant, Emmanuel Macron déclarait que » pour les plus précaires, pour les plus démunis, (…), nous ferons en sorte (…) qu’ils puissent être nourris, protégés, que les services que nous leur devons soient assurés ». Et le 13 mars, le ministre du logement, Julien Denormandie, annonçait la suspension des remises à la rue au 31 mars des personnes mises à l’abri durant la trêve hivernale.
Les grands oubliés… Les sans-abri… Les rares jours où j’ai dû me rendre à la pharmacie à pieds, j’ai pu voir des sans-abri qui avaient fait leur « nid » dans des portes cochères. L’un d’entre eux, handicapé, était dans un fauteuil roulant car il était amputé des pieds… Et je me suis dit: « Mais comment une personne handicapée, peut-elle se retrouver à la rue, dans un pays comme la France…? Qu’est-ce que l’Etat fait pour elle? » J’étais sans mots… Sans ses deux pieds, son « taux d’invalidité » ne lui permet donc pas de prétendre à une allocation suffisante pour avoir un petit logement…? Que faut-il donc pour avoir de l’aide de la nation…?
Alors certes tout le monde ne l’a pas vécu de la même manière en fonction de son lieu de vie .
Je reconnais avoir beaucoup de chance d’être à la campagne et en villa .
Mais soyons réalistes il y pire qu’un confinement de 40jours .
Je considère que ta maladie fait partie des choses plus graves de la vie . Et c’est surtout triste pour les gens fragiles qui n’ont pas survécu au Covid-19 ou simplement à ce confinement (personnes âgées ou malades essentiellement )
Si au moins ça servait à rendre les gens plus responsables mais j’en doute .
Pour les autres dont je fais partie il faut continuer à rester vigilant car tout n’est pas résolu je pense .
Belle soirée Sophie.
Bonjour Jany,
Non bien entendu rien n’est résolu et c’est une autre phase qui débute où il faudra être très vigilant.
Et bien entendu, un confinement de 40 jours ce n’est pas la fin du monde ,cependant pour certains il a été très difficile : psychologiquement et financièrement. Et ce qui va arriver dans les mois qui viennent sera difficile aussi.
Mais, oui il y a toujours pire, c’est d’ailleurs toujours ce que je me suis dit dans la vie 🙂
bises
Entièrement d’accord avec toi, Jany. Même si certains voisinages plus « bruyants » ont dû être intenables à vivre.